Comment comparer la gestion de course d’une année à l’autre ? As ton une « signature » de course qui serait atemporelle ?
Ces questions sont LES questions qui me taraudent depuis fort longtemps, e, témoignent nos tout derniers articles scientifiques et ouvrages (Révolution Marathon)

Alors nous allons avancer ensemble sur les 42,195 années et km de cette enquête en vous révélant sa fréquence cardiaque SEULE sans information autre pour le moment😂
Je sais c’est dur et cruel mais pour ma part j’adore attaquer els problématiques ainsi et me laisser entrevoir des hypothèses un peu farfelues parfois. Mais bien souvent c’est aussi en se retournant que nous retrouvons la trace d’un GR sur les chemins un peu sombres de la forêt de Fontainebleau.

Vous avez peut-être une course en tête qui vous attire puis, une fois que vous y avez goûté, surtout si vous l’avez redouté et surtout si vous l’avez trouvé …dure, vous y revenez chaque année comme un rituel partagé ou solidaire dans la foule de coureur.
C’est le cas pour le Marathon de Paris, ou des trails et ultra trails comme Sierre Zinal ou l’UTMB.
Ces courses repères vous font cependant encore davantage redouter que vous n’ayez pas progressé, voire que vous ayez …régressé.
Au-delà du chrono il y a l’art et la manière car courir est d’abord une question de gestion de l’effort, ce que l’on nomme le « Pacing » et que je pourrais traduire par « aller en paix » avec ses sensations en les suivant et non en les forçant à la poursuite d’une zone de fréquence cardiaque à respecter absolument.
Si vous me dite que finalement une zone de FC est préférable à celle d’une vitesse cible, je vous réponds que vous avez tout à fait raison.
Alors, cette semaine examinons la FC d’Emmanuel qui nous a fait la courtoisie de nous confier ses fichiers .fit de sa course de marathon fétiche : le marathon de Paris. C’est également un trailer et un triathlète d’Ironman parisien expérimenté.
Ses références
Total de 150 courses dont 10 triathlons XXL, 4 ultras trails et 15 marathons.
Trail
– Championnat de France de trail long, 2024, 144ème, 11ème V1.
– Championnat d’IDF 2024, 17ème et 2ème V1. Championnat de Trail du Val de Marne 2024, 4ème
et 2ème V1.
– Qualifié à la Petite Trotte à Léon 2024.
– ITRA Index : 680 (meilleure cotation Saintelyon déc. 2023 : 701), UTMB Index : 670.
– Diagonale des fous (167km et 9 700 D+), octobre 23, 40h41. 322/2047, 2900 inscrits.
– UT4M Xtrem (177km et 12 000D+), juillet 23, 39h19, 30/174 et 3ème Vétéran, 319 inscrits.
– LyonSainteLyon (156km, 4 400D+), décembre 22, 10h11, 26/212, 300 inscrits.
– SainteLyon (78km, 2400D+), décembre 2023, 7h25, 74ème / 6 614, 13ème plus de 40 ans.
Triathlon
– Championnat du Monde Ironman, septembre 2023, 2023, 351ème monde et 53ème français.
– Swissman, juin 2024, 25ème et 2ème V1.
– Alpsman, 2022, Top finisher, 12h58, 71ème, 16ème V1.
– Deauville, 2022, 10h41, 12ème général et 2ème V1.
– Embrunman, 2021, 13h46, 228ème.
Marathon : RP 2h44, 2023, qualifié pour le championnat de France.
– 15 Marathon de Paris
💥 Marathon de Paris : 02h44’12 » 502 / 50800, 60eme M1H. Qualifié Championnat de France.
10km : RP 35’52, 2023, sous le minima championnat de France 2024.
Ses statistiques d’entraînement :
Les stats d’entraînements
🚴♂️ 10 000 km et 53 000m D+
🏃♂️ 2 650 km et 40 000m D+
🏊♂️ 40 km
💗 39-194 FC
🫁 62 VO2 Max
Sans vous donner d’indice concernant la vitesse de chacun des 5 marathons (le 1er, le 3eme, le Cinquième et le 7em) sur lequel il était possible d’obtenir l’intégralité des données de FC et de vitesse (grâce au port de la ceinture cardiaque et surtout à son bon maintien) nous allons tout simplement, dans un premier temps, examiner leurs statistiques respectives et les comparer.
Pour comparer les fréquences cardiaques de ces 5 marathons, je vais utiliser plusieurs mesures statistiques que nous avons calculées : la moyenne, le mode, la médiane, l’écart-type, les valeurs extrêmes (minimales et maximales), ainsi que les coefficients d’asymétrie et de kurtosis. Cela nous permettra d’avoir une vue d’ensemble des différences et similarités entre les marathons.
Voici les histogrammes des fréquences cardiaques pour chaque marathon. Ces graphiques montrent la distribution des fréquences cardiaques durant chaque course, ce qui permet de visualiser la répartition des valeurs et d’identifier d’éventuelles concentrations autour de certaines plages de fréquence cardiaque.

La répartition des 5 marathons de Paris d’Emmanuel.
Analyser les différences entre les histogrammes des fréquences cardiaques pour les cinq marathons permet d’identifier comment la distribution des fréquences cardiaques varie d’une course à l’autre. Voici une analyse comparative des histogrammes :
1. Marathon 1 :
– Distribution : L’histogramme montre une distribution assez large, avec une concentration autour de 165-170 bpm.
– Forme : La distribution est modérément symétrique avec quelques valeurs élevées, mais elle ne présente pas de pic extrêmement élevé.
– Interprétation : Cela suggère que le marathonien a maintenu une fréquence cardiaque relativement stable autour de cette plage, avec quelques moments d’intensité plus élevée.
2. Marathon 3 :
– Distribution : Cet histogramme présente une distribution plus étalée avec une concentration plus faible autour de 160-170 bpm.
– Forme : La distribution est asymétrique avec une queue vers les fréquences cardiaques plus basses (vers 120 bpm), ce qui peut indiquer des phases de récupération importantes ou des ralentissements.
– Interprétation : Cela pourrait refléter des moments où le marathonien a ralenti significativement, peut-être en raison de la fatigue ou de la stratégie de course, tout en ayant des moments d’effort intense.
3. Marathon 5 :
– Distribution : L’histogramme de ce marathon montre une distribution plus irrégulière avec des fréquences cardiaques réparties sur une large plage, y compris des pics élevés.
– Forme : L’asymétrie est prononcée avec des valeurs extrêmes jusqu’à 196 bpm, ce qui est beaucoup plus élevé que dans les autres marathons.
– Interprétation : Cela suggère que ce marathon a été caractérisé par des moments d’effort très intense, potentiellement des sprints ou des montées difficiles, ainsi que des phases où la fréquence cardiaque est plus basse, peut-être en raison de récupérations ou de ralentissements.
4. Marathon 6 :
– Distribution : Cet histogramme montre une distribution plus concentrée, avec une majorité des fréquences cardiaques autour de 155-165 bpm.
– Forme : La forme est relativement symétrique avec une légère queue vers les fréquences cardiaques plus basses.
– Interprétation : Cela indique que le marathonien a maintenu une intensité relativement stable sans grandes fluctuations, ce qui pourrait indiquer une gestion efficace de l’effort tout au long de la course.
5. Marathon 7 :
– Distribution : L’histogramme présente une distribution concentrée autour de 165-170 bpm, similaire au marathon 1.
– Forme : La forme est assez symétrique, avec moins de valeurs extrêmes comparées au marathon 5.
– Interprétation : Cela suggère une performance équilibrée, où le marathonien a pu maintenir une fréquence cardiaque élevée mais stable, sans grands pics ni creux, ce qui pourrait indiquer une bonne endurance et une stratégie de course bien maîtrisée.
6. Comparaison globale des histogrammes :
– Marathons 1 et 7 : Ces deux marathons montrent des distributions similaires, avec une concentration autour de 165-170 bpm et une forme relativement symétrique. Cela suggère des performances assez homogènes où l’effort a été bien géré, avec peu de fluctuations extrêmes.
– Marathons 3 et 6 : Ces marathons montrent une distribution plus étalée et asymétrique, avec des queues vers des fréquences cardiaques plus basses. Cela peut refléter des phases de récupération importantes ou des variations dans l’effort.
– Marathon 5 : Se distingue par une distribution plus irrégulière et des fréquences cardiaques extrêmes. La présence de valeurs aussi élevées que 196 bpm indique un effort intense ou des conditions particulièrement difficiles pendant la course.
Conclusion :
Ces histogrammes révèlent des différences significatives dans la manière dont la fréquence cardiaque a été gérée d’un marathon à l’autre. Les marathons où la distribution est plus concentrée autour d’une plage étroite (comme les marathons 1 et 7) suggèrent une course plus régulière et bien maîtrisée. Les marathons avec des distributions plus étendues (comme les marathons 3, 5 et 6) révèlent des variations d’effort plus marquées, qui peuvent être stratégiques, mais aussi indicatives de conditions ou de stratégies de course variables.
En option voici le détail de l’analyse de ces séries de FC sur les marathons de Paris d’Emmanuel
1. Comparaison des Moyennes :
– Marathon 1 : 168 bpm
– Marathon 3 : 163 bpm
– Marathon 5 : 159 bpm
– Marathon 6 : 155 bpm
– Marathon 7 : 165 bpm
Interprétation : Le marathon 1 a la moyenne la plus élevée, ce qui suggère un effort globalement plus intense par rapport aux autres marathons, tandis que le marathon 6 a la moyenne la plus basse, indiquant potentiellement une course plus modérée.
2. Comparaison des Modes :
– Marathon 1 : 171 bpm
– Marathon 3 : 172 bpm
– Marathon 5 : 152 bpm
– Marathon 6 : 166 bpm
– Marathon 7 : 168 bpm
Interprétation : Les modes montrent les fréquences cardiaques les plus fréquentes pour chaque marathon. Le mode du marathon 5 est nettement plus bas (152 bpm), indiquant peut-être une course avec des périodes d’effort relativement faible par rapport aux autres marathons.
3. Comparaison des Médianes :
– Marathon 1 : 169 bpm
– Marathon 3 : 168 bpm
– Marathon 5 : 155 bpm
– Marathon 6 : 160 bpm
– Marathon 7 : 166 bpm
Interprétation : Les médianes sont proches des moyennes, surtout pour les marathons 1 et 3, ce qui indique une distribution symétrique. Cependant, le marathon 5 montre une médiane plus basse (155 bpm), ce qui pourrait indiquer une distribution asymétrique vers des valeurs plus faibles.
4. Comparaison des Écarts-types autour de la moyenne :
– Marathon 1 : 9 bpm
– Marathon 3 : 14 bpm
– Marathon 5 : 16 bpm
– Marathon 6 : 16 bpm
– Marathon 7 : 4 bpm
Interprétation : L’écart-type le plus bas est observé pour le marathon 7 (4 bpm), indiquant une course avec peu de variation dans l’effort cardiaque. À l’inverse, le marathon 5 montre la plus grande variabilité (16 bpm), suggérant des fluctuations importantes dans l’effort.
5. Comparaison des Valeurs Extrêmes :
– Marathon 1 : 149 bpm (min) – 187 bpm (max)
– Marathon 3 : 121 bpm (min) – 179 bpm (max)
– Marathon 5 : 132 bpm (min) – 186 bpm (max)
– Marathon 6 : 111 bpm (min) – 172 bpm (max)
– Marathon 7 : 156 bpm (min) – 178 bpm (max)
Interprétation : Le marathon 6 a la valeur minimale la plus basse (111 bpm), tandis que le marathon 5 a la valeur maximale la plus élevée (186 bpm). Cela souligne les variations extrêmes rencontrées dans ces marathons spécifiques.
6. Comparaison des Coefficients d’Asymétrie (Skewness) : Nous avons beaucoup publié sur l’importance de ce coefficient d’asymétrie pour la vitesse de course : retrouver nos publications en libre accès sur billatraining-publications. Mais ici il s’agit de la FC et nous verrons la vitesse le blog prochain pour établir cette synthèse concernant la pertinence d’une analyse de la FC et/ou de la vitesse de course qui font le « pacing » pour beaucoup de coureur qui ne s’écoutent pas toujours et préfèrent suivre leur cardio GPS (jusqu’à souvent frapper le mur au 26em km selon les statistiques du mur qui arrive bien avant le 30em).
– Marathon 1 : -0.19 (légèrement asymétrique à gauche)
– Marathon 3 : -1.32 (fortement asymétrique à gauche)
– Marathon 5 : 0.65 (asymétrique à droite)
– Marathon 6 : -1.26 (fortement asymétrique à gauche)
– Marathon 7 : -0.14 (légèrement asymétrique à gauche)
Interprétation : Les marathons 3 et 6 montrent une asymétrie marquée à gauche, indiquant une concentration de fréquences cardiaques plus élevées, tandis que le marathon 5 montre une asymétrie à droite, avec une concentration autour de fréquences plus basses.
La marathon 1 est symétrique donc les valeurs sont réparties autour de la moyenne.
7. Comparaison des Coefficients de Kurtosis :
– Marathon 1 : -0.23 (légèrement platykurtique)
– Marathon 3 : 1.16 (légèrement leptokurtique)
– Marathon 5 : -0.27 (légèrement platykurtique)
– Marathon 6 : 0.99 (légèrement leptokurtique)
– Marathon 7 : 0.76 (légèrement leptokurtique)
Le kurtosis (ou « aplatissement » en français) est une mesure statistique qui décrit la forme de la distribution des données, notamment la concentration des valeurs autour de la moyenne et la présence de valeurs extrêmes (c’est-à-dire des « queues » dans la distribution). Voici une interprétation du kurtosis pour chaque marathon basé sur les valeurs que nous avons calculées:
– Marathon 1 : Kurtosis = -0.10
– Interprétation :
– La valeur de kurtosis légèrement négative (-0.10) : Cela signifie que la distribution est un peu plus plate que la distribution normale, avec moins de valeurs extrêmes (c’est-à-dire que les données sont plus uniformément réparties et il y a moins de pics ou de creux prononcés).
– Implication : Pendant ce marathon, le marathonien a maintenu une fréquence cardiaque relativement stable, avec peu de moments d’effort extrêmement élevé ou de récupération profonde. Cela suggère une course plutôt homogène en termes d’intensité.
-Marathon 3 : Kurtosis = 1.46
– Interprétation :
– La valeur de kurtosis positive (1.46) indique que la distribution des fréquences cardiaques est plus pointue que la normale, avec une concentration plus élevée de valeurs autour de la moyenne et plus de valeurs extrêmes (c’est-à-dire des « queues » plus lourdes).
– Implication : Dans ce marathon, il y a eu des périodes avec des fréquences cardiaques très élevées ou très basses, ce qui pourrait indiquer des moments d’effort intense suivis de récupérations importantes. Cela peut refléter des fluctuations significatives dans l’intensité de l’effort, comme des sprints ou des ralentissements brusques.
-Marathon 5 : Kurtosis = -0.15
– Interprétation : La kurtosis légèrement négative (-0.15) indique une distribution similaire à celle du marathon 1, légèrement aplatie signifie moins de valeurs extrêmes, donc une fréquence cardiaque qui reste relativement stable, sans pics ou creux marqués.
– Implication : Ce marathon, comme le premier, a probablement été couru avec une intensité modérée et régulière, montrant peu de variation significative dans l’effort. Le marathonien a peut-être maintenu un rythme soutenu mais sans fluctuations importantes.
– Marathon 6 : Kurtosis = 1.27
– Interprétation :
– Une kurtosis positive de 1.27 indique également une distribution qui implique une concentration de valeurs autour de la moyenne avec la présence de valeurs extrêmes plus fréquentes que dans une distribution normale.
– Implication : Le marathon 6 a probablement été caractérisé par des variations d’intensité significatives, avec des moments de poussée extrême ou de récupération. Cela pourrait refléter une stratégie de course où le marathonien a alterné des phases d’effort intense avec des périodes de récupération, ou a dû s’ajuster à des conditions de course difficiles.
– Marathon 7 : Kurtosis = 1.01
– Interprétation : Une kurtosis légèrement positive (1.01) indique une distribution leptokurtique, mais moins marquée que dans les marathons 3 et 6.
– Cela signifie qu’il y a une certaine concentration des valeurs autour de la moyenne avec une présence de valeurs extrêmes, bien que ce ne soit pas aussi prononcé.
– Implication : Le marathon 7 montre une tendance à avoir des valeurs extrêmes, mais de manière plus modérée que les marathons 3 et 6. Cela peut indiquer des fluctuations dans l’effort, mais avec moins de variations que dans les marathons où la kurtosis est plus élevée.
Conclusion
– Marathons 1 et 5 (kurtosis négatif) : Ces marathons semblent avoir été courus de manière plus uniforme, avec une fréquence cardiaque relativement stable, sans trop de fluctuations extrêmes. Cela pourrait indiquer une course bien maîtrisée, où l’intensité de l’effort a été maintenue de façon régulière.
– Marathons 3, 6 et 7 (kurtosis positif) : Ces marathons montrent une plus grande présence de valeurs extrêmes, indiquant des fluctuations plus importantes dans la fréquence cardiaque. Cela pourrait être le signe de phases d’effort intense alternant avec des périodes de récupération, ou d’une réponse à des variations dans les conditions de course, comme des montées, des descentes, ou des changements de rythme.
L’analyse du kurtosis permet de mieux comprendre la dynamique de l’effort pendant les marathons, en montrant à quel point la course a été régulière ou marquée par des variations importantes de l’intensité de l’effort.
Interprétation : Les marathons 3, 6, et 7 montrent une distribution avec plus de valeurs proches de la moyenne et plus de valeurs extrêmes par rapport à une distribution normale. Les marathons 1 et ont une distribution plus plate avec moins de valeurs extrêmes.
Conclusion générale :
– Marathon 1 et 7 : Ces marathons montrent une régularité plus élevée dans les fréquences cardiaques avec moins de variations extrêmes, suggérant une gestion d’effort plus contrôlée.
– Marathon 3 et 6 : Présentent des asymétries marquées et des kurtosis élevés, ce qui indique des courses avec des périodes de forte intensité et de récupération.
– Marathon 5 : Se distingue par la plus grande variabilité des fréquences cardiaques et une asymétrie à droite, ce qui pourrait indiquer des moments de relâchement suivis d’efforts intenses.
Ces observations suggèrent des différences significatives dans la gestion de l’effort, la condition physique du jour, et peut-être les stratégies employées par le marathonien lors de chaque course.
Cela est intéressant de travailler sur des données en aveugle, sans indice du coureur concernant ses sensations, sa performance et sa vitesse.
Je vais vous fournir par épisodes ces indices pour terminer par une analyse plus synthétique qui puisse être utile au coureur pour ses futures stratégies de course.
Mais n’oublions pas que le « pacing » reflète surtout un type d’entraînement et je l’interrogerai sur les différences possibles concernant son entraînement pour chaque marathon.
Et bien sûr il y a les effets de l’âge. Cependant mon hypothèse, encore une fois, est que nous avons une signature de variation de vitesse atemporelle tout comme notre signature des chèques (à ne pas faire en blanc pour éviter de prendre le mur de la banque ! car ces deux murs ne font pas crédits !
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